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Réduire nos déchets

Le plastique, une question centrale chez E.Leclerc

Pionnier de la suppression des sacs plastique à usage unique vingt ans avant la loi, E.Leclerc poursuit son engagement pour un usage raisonné du plastique. Zoom sur une démarche de fond concrétisée par un travail sur trois axes : supprimer le plastique dès que possible, le remplacer si nécessaire et améliorer sa recyclabilité.

Moins de plastique dans les rayons

Dès 1996, les sacs plastique à usage unique disparaissaient des centres E.Leclerc. En 2020, suivaient les sacs de caisse en plastique, et depuis le 1er mai 2021, les rayons fruits et légumes ne proposent plus aucun sac en plastique. À la place, des filets en coton bio lavables et des sachets kraft, 100 % recyclables issus de forêts gérées durablement, génèrent une économie de 1 350 tonnes de plastique par an. La même démarche s’applique jusqu’au cœur des rayons, où la réduction du poids des emballages boucherie-charcuterie-traiteur a permis d’économiser 200 tonnes de plastique par an. Au rayon marée, la lutte contre le plastique et le polystyrène a même donné lieu au premier « Challenge emballages écoresponsables », grâce auquel 250 tonnes de polystyrène devraient être écartées de la filière à l’horizon 2022 !

Moins de plastique dans les produits 

Lutter contre le plastique, c’est aussi repenser les produits existants. Les marques E.Leclerc ont donc éliminé, en 2020, les fenêtres en plastique inutiles sur les emballages des jouets, économisant 8 tonnes de plastique par an. Même principe pour des produits de bricolage, désormais présentés sur du carton 100 % recyclable et certifié FSC. Côté alimentaire, les gammes Marque Repère ont aussi massivement repensé leur conception (voir page suivante). Dans le domaine automobile, l’utilisation de plastique recyclé pour les bidons va permettre d’économiser 287 tonnes de plastique vierge par an. Et au rayon jouets, une gamme en bois certifiée FSC va être lancée pour Noël 2021.

Objectif zéro gaspillage

Près de 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées chaque année, dont 14 % en phase de distribution et 33 % en phase de consommation. Engagé depuis des décennies pour en limiter la portée, le Mouvement E.Leclerc multiplie les chantiers pour optimiser, informer et valoriser. Une démarche qui s’appliquera bientôt aux produits non-alimentaires.

Moins de gaspillage en magasin

Membre du Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire et du Pacte sur les Dates de Consommation, E.Leclerc entend assumer son rôle de distributeur responsable. Un engagement piloté par un groupe de travail interne au niveau national et appliqué par chaque centre E.Leclerc à l’échelle locale : la gestion optimisée des invendus, des offres promotionnelles et des produits à date courte fait depuis longtemps partie du quotidien des magasins. Chacun peut également travailler en autonomie avec des prestataires, Phenix et Comerso accompagnant près de 200 centres E.Leclerc dans leur démarche antigaspillage, alors que 120 magasins proposent des paniers d’invendus sur l’application Too Good To Go. Quid des invendus, justement ? Certains sont revalorisés directement en magasin, comme les fruits et légumes transformés en soupes ou en smoothies. Les dons de nourriture, quant à eux, sont en place depuis longtemps : E.Leclerc est aujourd’hui le premier donateur privé de denrées aux Banques Alimentaires avec 9 641 tonnes redistribuées dans le cadre des dons et des collectes des produits à date courte en magasins.

Moins de gaspillage à la maison

Parce que réduire le gaspillage chez les consommateurs dépend aussi des distributeurs, un véritable chantier s’est engagé au cœur de l’enseigne. Le principe ? Apporter un maximum de fraîcheur côté produits tout en offrant une information plus précise sur les bonnes pratiques antigaspi. C’est pourquoi E.Leclerc améliore chaque jour sa communication à destination des consommateurs, leur offrant conseils et astuces pour adapter la taille de leurs portions, éviter les surplus, mieux gérer les dates de consommation et valoriser à la maison les produits proches de la date limite. Mieux acheter, c’est mieux consommer et c’est moins gaspiller.